Je me tourne vers la femme, un regard reconnaissant sur mon visage. j'étais à rpésent plus calme maintenant que j'étais sorti de cette cellule et je ne demandais qu'une chose, m'en éloigner aussi vite que possible et l'oublier. Je souris un peu à la femme, un de ces rares sourire.
"Je ne rpéfère pas la déranger...j'ai cru comprendre qu'elle était malade et je ne veux aps l'ennuyer avec mon état de santé. Ce n'est qu'un coup de froid passager, je saurais m'en défaire. Je vous remercie pour tout ce que vous avez fait ce soir...et j'espère sincèrement que vous n'aurez pas d'ennuis."