On m'en a parlé....est-ce vrai !? [un surveillant]

Une fois de plus ,Rivaul essaye de s'échapper,c'était beau de rêver,i létait tomber avec sans doute la plus cinglée et dangereuse des surveillante,elle le rattrapa et le balanca en avant

Avances

Elle continuait à jouer avec son couteau

Entres dans ce cachot!

Roooo amsi jamais elle me les lachait celle là ? Ben apparemment, j'avais ma réponse et c'était non, car de nouveau, je suis tiré en arrière pour retourner dans cette cellule froide et horrible. Elle voulait absolument que je rentre là dedans, mais moi pas vouloir. Ben ouais j'étais têtu aussi. Cependant, elle ne me laisse aucune autre issu, et les bras attaché, je ne peux rien contre elle...à part...oui peut être.
Prenant mon élan, je fonce sur elle épaule la première pour la dégommer de mon passage.

"Dans tes rêves pauvre cloche !"

Il finit par obéir mais aps pour longtemps,il se retourne la fixe méchamment et lui fonce dessus,elle ne s'y attend pas et tombe à terre,par réflexe elle sort son couteau,il a presque atteint la porte quand elle lui envoit dans le dos,elle se relève difficilement et le regarde

Enfin à terre. Je pouvais sortir à présent. Je me précipite vers la porte restée ouverte, mais impossible de l'atteindre. En effet, au moment où j'arrive juste pour la passer, je sens une soudaine douleur dans mon dos qui semble me transpercer et je tombe au sol avec un gémissement de douleur. remué de quelques convulsions sous le coup de la surprise, je tente cependant de regarder ce qui se passe. J'essaie de me relever, mais mes jambes n'obéissent plus secouées de tremblement. Je ferme alors les yeux, tentant de me calmer, mais c'est la douleur qui me tient. Je respire rapidement. Le couteau ne m'avait pas atteint à un endroit vraiùment dangereux, mais plutôt douloureux. Il s'était fiché au niveau de mon homoplate droit.

Elle se dirige vers lui,son sourire mauvais aux lèvres,elle dit plus pour elle-même

Aides les gens et vois comme il te remercie,j'avais pris de bonnes résolutions et voilà qu'on me fait du mal

Elle avancait vers le jeune homme

Tu ne m'as pas laissé le choix,j'ai voulu t'aider mais tu ne m'as pas laissé faire

Je rouvre les yeux et regarde la femme se rapprocher. Mes yeux lance des éclairs de fureur. Je la regarde d'un air mauvais.

"Parce que tu es comme les autres, une menteuse. Si tu tenais vraiment parole, si tu savais être bien, tu ferais pas tut ça, mais t'es pas mieux que les autres. Vous êtes tous pourris jusqu'à la moelle dans ce pansionnant de mer**. Tu mérites pas de considération...pas plus qu'une larve."

Je continue de la regarder d'un air mauvais en tentant de me redresser mais la douleur m'en empêchait ainsi que mes mains toujours léies dans mon dos par ces foutus menottes.

Elle éclata de rire et retira son couteau sans ménager Rivaul

Ecoutes,tu m'as insulté,tu m'as blessée,tu m'as fait du mal et après tout ca tu oses me dire que c'est moi qui est pourrie?Tu délires,mais tu as de la chance,je suis de bonne humeur,je te laisse une dernière chance,je veux bien te soigner et ne rien dire sur tout ca si tu ne retournes plus là bas!On est d'accord?

Je lâche un bref gémissement de nouveau sous une nouvelle douleur assez vive me transperçant de part en part presque. C'était une image bien entendu. Je n'étais pas transpercé à proprement parlé, mais c'était l'impression que j'avais. Je la regarde, la laissant parler. Je fais doucement non de la tête d'un air dégoutté.

"T'as rien à me dire ! T'es pas ma mère, t'es qu'une pauvre pouff ! Si je veux y retourner pour tout péter c'est mon problème pas le tien !"

Je tente de me redresser une fois encore mais tout ce que je parveins à faire, c'est d'envoyer des coups de pieds un peu dans toutes les directions.

Elle le regarde,ressentant de la pitié pour lui,quel jeune homme stupide

Réfléchis bien Rivaul,je te propose quelque chose d'interessant

Ses coups de pieds donnés n'importe comment ne la touche pas

Je la regarde tujours pareillement et prend ensuite un air légèrement moqueur.

"Parce que t'es sourde en plus d'être bouchée ? Je changerais pas d'avis et je t'ai rien demandé ok ?"

Je parveins enfin à me relever après m'être difficilement redressé et la regarde toujours de cet air mavais. Si j'avais pu, mes yeux auraient tirée des rafales de balle...

Elle le regarde décue

A ta guisen en plus tu es debout parfait

Elle l'attrape par le bras et lui enlève les menottes,elle lui donne un bout de tissu et lui dit

Tu feras pression dessus pour ne pas que tu perdes tout ton sang,je reviens je vais te recoudre

Elle le balance dans le cachot et referme la porte

Je la regarde étonné, me retrouvant vite, sans avoir même le temps de comprendre, avec un bout de tissus dans mes mains détachées à présent. Je la regarde d'un air interogateur, mais déjà la porte du cachot se referme sur moi. Je regarde le morceau de tissus alors qu'elle sort de la pièce, mais au lieu de l'utiliser comme elle le demande. Je le balance avec force. IL ne va pas loin, trop léger, mais tant pis. Je regarde alors les grilles, la fureur dans les yeux et commence à taper dessus de toutes mes forces. Je fonce dessus et tape les barres de métal en espérant les faire tomber, mais c'est plutôt moi qui tombe au fur et à mesure. De plus en plus, je sens la douleur dans mes épaules, mes poings, mes pieds et mes genoux, mais pour rien au monde je ne reculerais.

Elle fouille dans une des trousses que les surveillants ont,elle trouves une aiguille et du fil ainsi que du désinfectant,elle est vraiment rop gentille quand elle y pense,tout dépend bien entendu de quel point de vue on se place XD,elle revient quelques minutes plus tard,ouvre la porte et regarde Rivaul,à bout de force

Assieds toi s'il te plait je vais empêcher que le sang coule

Ben oui j'étais mort de fatigue à présent à force de m'exciter comme un demeurré sur cette foutu grille qui ne voulait décidément pas céder. C'est elle que je regardais d'un oeil noir à présent, comme pour lui repprocher de m'empêcher de sortir. J'essaie encore quelques coups mais sans succès et je m'épuise...en fait, non, je suis déjà épuisé. C'est ce moment que choisis Aube pour revenir dans la pièce. Je lui lance un regard haineux et hausse les épaules.

"M'en fou. Peut couler mon sang, ça me fait de belles jambes; j'espère juste qu'il coulera assez pour que j'en crêve."

Elle s'approche de lui tout de même,puis s'asseoit à ses côtés,il es tde toute facon bien trop fatigué pour la frapper encore,elle lui déchire son t-shirt puis désinfecte la plaie et commence à le recoudre sans rien dire,elle ne sait pas pourquoi elle le fait,mais elle le fait,elle n'est pas un monstre,du moins pas au sens propre!

assis à présent, je tente de reprendre mon souffle. Je respire toujours rapidement, peinant à me calmer. En fait, je crois bien que j'en étais même oincapable. Je soupir un peu alors qu'elle vient près de moi pour me soigner et ne bouge pas, trop K.O. pour le faire. Je la laisse même me déchirer le tee shirt sans réagir, espérant qu'elle s'e riait très vite en voaynt mon corps couvert de cicatrices et de brulures...mais elle commence àe me soigner et à me recoudre. Je fais une légère grimace sous la douleur mais en dis rien. Je frémissais seulement de rage...

Elle remarque les nombreuses cicatrices sur le corps de ce jeune homme,elle est peinée de lui en avoir ajoutée une autre,elle termine de le recoudre et désinfecte une nouvelle fois puis lui dit

Tu veux que je te sorte d'ici?

Une fois qu'elle a terminé, un moment de silence passe. Je ne bouge plus à présent, trop crevé pour ça...et l'envie m'en manquait aussi, sans que je ne sache vraiment pourquoi. A présent, sans le tee-shirt, je setnais d'autant plus le froid et l'humidité de la pièce. Entendant soudain ses paroles, je me lève vivement en me mettant loin d'elle et la regarde méchamment.

"Tu m'enfermes, maintenant tu veux que je sortes ! Lâches moi ok ! J'en veux pas de ta pitié, je me fous de ce que tu penses. Hais moi ça m'arrangera bien plus. Casse toi maintenant au lieu de dire des conneries. Tu m'asz mis ici pour que je paie mes conneries, j'assumerais maintenant que j'y suis c'est out ! Vas-t-en maintenant ok ?"

Elle le regarda dans les yeux,se retrouvant en lui

Tu préfères qu'on te déteste parce que tu hais tellement ta vie et tu te hais tellement toi-même que tu n'imagines pas que quelqu'un puisse être sincére,tu as tellement souffert que tu penses qu'il est impossible que des gens disent la vérité ou te veuilles du bien,tu apprendras avec le temps que ca marche pas toujours comme ca,je te laisses la porte ouverte,aau revoir

Sur ces mots elle lui tourne le dos et s'en va

(roooooo et mes tortures ??? lol)

Je regarde la femme partir mais ne bouge pas. Non ce genre de gens, qui disent la vérité et me veulent du bien, ça n'existe pas. Je la laisse s'en aller sans bouger pour ma part. Je m'asseois au fond de la cellule et reste immoble, assis dans le froid, encore torse nu. Je ferme les yeux en posant ma tête sur mes bras et soupir un peu. Je ne comprenais pas ce qui se passait et je ne pense aps que j'avais envi de comprendre quelque part, mais bon...là en l'occurence, ça m'aurait bien aidé.

(mais elle essaye d'être gentilleuuuuuuuh mdr)

Elle séloigne,sans se retourner,elle risque déjà d'avoir pas mal d'ennuis à cause du surveillant qu'elle a amoché,elle décide d'y retourner et de le tuer,pour ne pas avoir d'ennuis,elle retourne devant la salle,pensant que Rivaul est parti,elle attrape le surveillant encore assomé et le porte jusque dans une cellule,elle le pose sur un des fauteuils et se demande ce qu'elle pourrait bien lu ifaire

La tête toujours posée sur mes bras pliés, j'entend soudain des bruits de pas. Est-e qu'elle s'était décidée à venir m'achever ? En tout cas c'est ce que j'espérais, mais en vain apparemment. Les pas ne viennent pas jusque là et je les entend s'éloigner. en levant la tête, je vois un peu plus loin, Aube bien embêté avec ce surveillant qu'elle a assomé. Je ne peux pas m'empêcher de me mettre à ricaner.

"On assome un gentil monsieur et on sait plus quoi en faire pour as qu'il parle ? Mais t'as oublié un truc, c'est que moi j'ai tout vu, et si c'est pas lui qui parle, c'est moi qui parlerait...à moins que tu ne nous tues tous les deux;"

Je pars à rigoler, pensant qu'elle était incapable de faire de telles choses.

Elle regarde le surveillant d'un air malsain,elle prend un scalpel et lui enfonce violemment dans la poitrine,celui-ci se réveille en hurlant,il est attaché,elle lui dit

Chuuut,ici personne ne t'entends,tu as fait ca à de nombreux pensionnaires si je ne metrompes,à ton tour!

Elle éclate de rire,elle savait que c'était lui qui avait torturé Rude,petite vengeance personnelle en prime,elle lui met u ncoup d escalpel dans l'oeil et le lui retire dans des cris de douleurs,elle continues à rire,du sang partout,ensuite elle prend des pinces et lui arrache les tétons,plutôt amusant

En entendant les cris de l'homme cependant, je comprends très vite que cette fille est en fait, bien pire que les autres réunis ! Je me lève d'un bond, regardant le pauvre homme agonisant avec horreur. Je me précipite alors vers la porte pour aller appeler de l'aide. Hors de question de laissé cette folle en liberté, c'était elle qui fallait enfermé, ni lui, ni mi. Je passe près d'aube et la bouscule au passage, mais pas assez à mon sens pour l'empêcher de réair à ma fuite. Je tente cependant de partir au plus vite.

Aube voit Rivaul approcher vers elle,alarmé par les cris de l'autre abruti,il la bouscule,elle se lance à sa poursuite et finit par le rattraper,elle pose ses mains pleins de sang sur sa gorge et lui dit

Chuuuut,personne ne te croira

Elle rit et l'emmene dans al salle des cachots,elle referme la port e à clés derrière elle,elle sourit à Rivaul,malveillante,elle range les clés dans son corsage et retourne à ses ocupations

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