Cellule de Rivaul Corsas

J'avais finis par perdre connaissance entre les longues heures à jeun que je venais de subir et la douleur aussi à présent dans tout mon membre supérieur droit...et le reste également, mai là, la douleur était moins dense. Cela ne m'empe^che cependant pas de me réveiller en entendant mon nom. JE pense que c'est de nouveau la co-directrice qui est revenue. J'ouvre les yeux et aussi vite que je peux, c'est à dire assez lentement, en titubant et retombant presque au sol, je me retourne vers elle et lui jette un regard noir sur le coup...mais je me trompais, ce n'était pas l'autre folle. Je me calme alors et retombe au sol, assis contre les barreaux. Je referme les yeux, sans répondre.

Elle remarque qu'il est trop faible, peut être, pour parler, et même pour bouger, Elle reste sur place, mains accrochés aux barreaux, elle ne pouvait pas le laisser mourir comme ça sans rien faire, Elle repensa aux risques qu'il pouvait y avoir avec Denise et toutes les conséquences

" Je reviens tout de suite...je vais vous sortir de là"

Elle se mit à partir sans plus réfléchir, pour aller chercher les clés ou de quoi ouvrir

*Es tu au moins consciente de ce que tu vas faire?*

J'étais complètement vidé, presque mort de fatigue, de faim et de soif. Mais la co-directrice ne semblait pas disposée à me faire sortir de là. Je orouvre les yeux et regarde un instant Summer d'un regard vide. Je tente de nouveau de me lever mais gémis de douleur et finis par rester immobile. Je referme les yeux en entendant ce que dit la psychologue. Pourquoi elle voulait m'aider après ce que j'avais failli lui faire ? Elle aurait mieux fait de me laisser crever...mais apparemment ce n'était aps son avis. Je referme les yeux en attendant, me disant que si la co-directrice revenait, ça risquait de faire des étincelles. En attendant, le sang continu de couler de mes blessures.

Summer revient quelques instant plus tard avec un trousseau de clés, Des clés et encore des clés de toutes couleur et de toute forme! A en perdre la vue!

" Je suis là..Ne vous inquiétez pas vous êtes bientôt sauvé"

Elle lui fait un triste sourire, essatyant toutes les clés possibles et jettant des coup d'oeil furtif à droite et à gauche

*Si Denise arrive, je suis vraiment mal..*

Quelques minutes passent sans que la jeune psychologue ne revienne. Je me disais que c'était bien une blague, qu'elle avait dit ça comme ça, mais que aprè ce que j'avais tenté de lui faire, elle avait elle, décidé de me laisser là. Et après tout, ce n'était que justice. Mais non, peu de temps après, sa voix me réveil de nouveau un peu. j'ouvre de nouveau les yeux et voie Summer ent rain d'essayer toutes les clés.je regarde moi aussi un peu aprtout, mais finis par refermer les yeux, complètement à bout. De ma main gauche, je vais un peu tâter mon bras et mon épaule droite, mais je grimace et n'y touche plus. Je me les étaient sûrement fracturés en fonçant ainsi sur la grille.

Summer essaye tant bien que mal de trouvé la clé, celle qui lui permettra de sortir et de ne pas mourir dans cette "cage", Aprés avoir essayé quasiment toutes les clés, Une entre dans la serrure, enfin! Pas de directrice ou de surveillant à L'horizon? Tant mieux! Mais en voyant Rivaul qui perd de plus en plus de force, elle s'inquiéte en ouvrant la grille, car elle ne pourra pas le porter toute seule..Elle s'approche de lui à genoux et passe une main sur son front

"Rivaul si vous m'aidez on peut y arriver tout les deux, je dois vous demander un dernier effort..juste un dernier.."

Au bout d'un moment qui me semble interminable, Summer trouve enfin la bonne clé pour ouvrir la grille. Elle entre alors et s'approche de moi, mais je ne peux plus que l'entendre, j'arrivais à la limite de mes ofrces. J'étais déjà très maigre, mais en plus, rien mangé depuis 4 jour à présent et à peine bu l'eau de pluie entrée par le petit soupirail de ma geôle, j'avait totalement épuisé mes réserves. Je me force cependant à rouvrir de nouveau les yeux et regarde Summer, le regarde complètement vide de toute expression. Je tente de me redresser mais mes jambes tremblent violemment sous moi. Je ny' parviendrais aps seul.

» Cellule d'Eva