Malade [P.V]

SAra semblait inquiète soudain et énervée aussi. Je ne savais toujours pas si je povuais lui dire la vérité sur cette blessure, redoutant toujours le retour du bâton de l'autre côté. Je fronce un peu les sourcils sans rien dire puis ferme les yeux et détourne la tête alors qu'elle cherche à me regarder. Non je ne pouvais pas...pas mentir en la regardant, c'était impossible, car en effet, à rpésent j'étais sûr de ce que je voulais faire et pour le moment, ell ene saurait pas toute la vérité. Je soupir un peu et essaie de la regarder, mais mon regard va fixer un point un peu plus loin alors que je parle.

"Rien de grave ne t'inquiètes pas...on m'a juste envoyé un couteau, je n'ai aps vu qui c'était."

Je lui souris un peu et caresse doucement sa main en espérant qu'elle allait oublier tout ça.

"Je vais bien. Rien d'autre ne me fait mal."

Je cotinue de lui sourire aussi courageusement que possible. Je n'étais sortit il n'y avait que quelques temps de cette salle et tout de suite j'étais venu voir Sara, personne ne l'ayant vu dans le pansionnat.

Je trouvais étrange que Rivaul est détourné la tête et ne m’est pas regardé dans les yeux mais je ne relevais pas et acceptais cette réponse.. pour l’instant.
De toute façon quoi qu’il soit arrivé c’était dans les cachots… pensais-je bien décidé à en savoir plus.
Je ne dis rien le sujet étant clos. Si il ne voulait rien me dire je trouverais par moi même. J’enlevais ma main qu’il caressait et commençais à désinfecter sa plaie puis à la recouvrir d’un pansement.

« Voilà… Je ne t’ai pas trop fait mal ? »

Le silence était tombé entre Sara et moi. Pour le moment, et également par soucis de ne pas la fatiguer plus avec sa maladie déjà lourde à gérer, je préférais taire ce qui s'était passé...et après tout, c'était en partit la vérité, même si c'était loin d'être la vérité totale. Je la laisse me désinfecter la blessure et la panser pour de bon. Je ferme un peu les yeux, sans réagir, calme à présent comparé à quelques heures en arrière dans le cachot. Une fois qu'elle a terminé, je me tourn evers elle et lui souris doucement.

"Tu as été parfaite, je n'ai rien sentis."

Je continue de lui sourire avant de me pencher sur elle pour l'embrasser.

"Et toi comment tu te sens ?"

Je pose les affaires à côté de nous et prend sa main pour la mettre sur mon front après avoir répondue tendrement à son baiser.

« Je n’ai plus de fièvre et je n’ai pas vomi depuis que tu es arrivé tu es un remède miracle ! »

Répondis-je en souriant pour chasser le malaise qui s’était installé.

« Il faudrait que je t’ai prêt de moi plus souvent pour guérir et ne plus attraper un coup de froid.. »

Je déposais quelques baisers dans son dos avant de remettre son t-shirt puis lui taquinais ensuite le cou.

JE la laisse faire sans bouger, souriant seulement à ses paroles. Je me penche alors doucement vers elle pour l'embrasser mais peu de temps après, je sens déjà qu'elle merhabille. Doucement, j'arrête son geste et retire de nouveau mon haut. Je lui souris et m'approche un peu plus d'elle. Je la regarde tendrement dans les yeux et viens passer ma main dans son dos, au creux de ses reins.

"pourquoi me rhabiller déjà ?...tu ne veux pas...qu'on aille plus loin ?"

Je souris tristement. A sentir sa main se poser au creux de mes reins j’éprouvais déjà une sensation de désir monter en moi mais je savais très bien que ‘mon remède miracle’ ne m’avait pas rendu les forces que j’avais perdu avec plusieurs jours sans manger ni dormir.

« Je ne pense pas avoir assez de force… Je ne suis même pas sûr d’arriver à me relever tu sais.. »

Je faisais une moue comique en évitant de laisser mes mains gambader sur le haut du corps nu de Rivaul.

Je vois le sourire triste de Sara, mais moi non, je ne voulais pas qu'elle perde le moral aussi facilement. C'est donc d'un air amusé que je lui sors.

"Alors si je comrpends bien, avant de pouvoir vraiment être avec toi, il faut que je te retape...voyons voir...est-ce que tu as faim ?"

Je lui fais un grand sourire en demandant cela et passe doucement ma main sur son visage pour tenter de lui redonner une note plus joyeuse. Peu m'importait qu'elle soit malade, je donnerais mon coeur pour qu'elle guérisse. Et puis entre nous, je n'étais pas mal non plus côté maladie.

Je souris maintenant d'un air malicieux à sa phrase.

"Et oui ! Je suis pire qu'une vieille maison en ruine ! Et... oui j'ai très faim !"

La comparaison entre des ruines et moi me fait sourire même si il était vrai que mon coeur aussi avait bien besoin de pansement.. Je me relève un peu trop vite surement pour ma tête qui tourne. Mes oreilles bourdonnent quelques instants et heureusement que ma main serrait toujours celle de Rivaul car je me rattrapais à lui dans ma chute. Je me retrouvais alors dans ses bras, mon coeur battant précipitamment dans ma poitrine contre son torse nu et ferme.

"Whou.. J'ai aussi besoin d'être rattrapé.."

Je souris à sa réponse, mais mon surire disparaît lorsque je la sens tomber alors que je lui tien toujours la main...et heureusement que je la tenais. Je la prend alors contre moi pour la rattraper au mieux possible et lui souris alors d'un air malicieux alors que je la tiens doucement mais surement contre moi.

"Tu devrais resté allongée Sara. J'irais te chercher de quoi manger et te l'emménerais ici."

Je l'embrasse doucement et la rallonge doucement, ne la séparant que le plus tard possible de mon corps.

Je me laisse faire trop fatiguée pour riposter... Et puis être collée au corps de Rivaul n'était pas désagréable. Je touchais ses lèvres avant qu'il se soit relevé.

"Tu as une voix magnifique.. Je suis contente de pouvoir l'entendre."

Puis je souris.

"Tu es officiellement devenu mon chevalier servant ?"

Je lui souris en la regardant dans le syeux d'un air calme, tout mon amour brillant dans mes prunelles. Je passe doucement un doigt sur sa joue ensuite en gardant ce petit sourire.

"Et est-ce que tu penses que je suis un bon comédien aussi ?"

Je souriais en disant cela mais en fait...c'était vrai. Je n'avais jamais vraiment arrêté de parler, c'était mon cerveau qui le pensait, mais le reste de mon coeur l'avait toujours contredit. pourtant, sans savoir pourquoi, j'avais décidé de le penser moi aussi et faire en sorte que ne plus parler devienne une réalité. C'était sans doute pour cela que j'avais réussi assez facilement à recouvrer l'usage de la parole.
Me levant pour aller à la cuisine je lui fais un grand sourire avant de faire une révérence.

"Si par ma cervelle, un peu dérangée je vous l'accorde, mon courage, pas plus grand qu'un asticot, et ma volonté, de fer celle-ci en revanche, je peux vous donner tout ce que vous avez envis, alors je le ferais madame. Et j'ai ouïs dire que vous viez faim par ailleur. Alors dites moi. Qu'est-ce qui vous ferez plaisir ?"

Je fronçais les sourcils me demandant pourquoi Rivaul me posait cette question. Puis il se remit à parler avant que je n'ai pu lui poser la question et j'éclatais de rire à la fin de sa longue tirade chevaleresque en l'applaudissant.

"Très bon comédien en effet ! Mais je ne vous connaissiez pas ce talent d'artiste mon preux cavalier ! Apportez moi ce que la servante aura laissé dans la cuisine !"

Je gardais mon sourire en disant cela puis m'assis pour m'accrocher au cou de Rivaul et lui murmurer à l'oreille.

"Votre coeur est-il comme votre volonté ou comme votre cervelle mon magnifique et courageux chevalier ?"

Prononçais-je en appuyant bien sur le mot 'courageux'.

Je souris et m'incline devant elle, comme le ferait un mousquetaire acceptant un ordre et s'inclinant avant de partir en quête. Mais au moment d'y aller justement, je sens les mains de Sara se refermer doucement autour de ma nuque pour m'attirer à elle. Je souris doucement etécoute le son mélodieux de sa voix qui me fait chavirer le coeur.

"Il est comme mon amour pour vous madame, sans faille."

Je lui souris et l'embrasse tendrement avant deme redresser pour aller un peu vers la porte.

"Laissez moi partir en quête, et je vous rapporterais tout ce dont vous avez besoin."

Je lui souris et sors ensuite de la chambre...revenant quelques minutes plus tard chargé de quelques provisions faites à al cuisine. Bon, je ne précise pas que j'avais du les voler car personne ne me croyait lorsque j'avais dis que c'était pour Sara Tancredi, le médecin, qui étant malade et commencant à se remettre, voulait à présent manger un peu. Enfin, les provisions étaient là à présent et je pense que c'était le plus important. Je sors devant sara un reste d'une miche de pain, du saucisson, des oranges, des pommes, du jambon et un bol de riz recouvert d'un film plastique. Je lui les dispose sur la table de nuit avant de la regarder.

"C'est tout ce que j'ai pu avoir...je suis désol ce n'est pas beaucoup...ça ira ?"

Je suivis des yeux Rivaul jusqu’à ce qu’il sorte puis je failli m’assoupir un sourire toujours collé aux lèvres. Je ne pensais pas un instant qu’il est pu avoir des problèmes pour les apporter, connaissant mal la ‘condition’ des pensionnaires. J’allais sûrement vite comprendre tous les problèmes qu’ils rencontraient chaque jour en restant avec Rivaul. J’avais entendu parler des tortures et en avais même eu plusieurs aperçues mais je ne connaissais pas la persécution continuelle des surveillants, le danger que pouvait être les autres pensionnaires…
Je pensais tout à coup qu’on ne nous laisserait peut-être pas ensemble. Je voulais parler des surveillants et de la directrice. Accepteraient-ils qu’une membre du personnel et qu’un pensionnaire soient en couple ? N’essairaient-ils pas de nous séparer ?
Mais Rivaul me tira bien vite de ces pensées revenant les bras chargé de ‘victuailles’. Il les déposa sur la table de nuit et je m’assis en tapotant la lit à mes côtés pour qu’il vienne s’y asseoir. Je souris à ses paroles et l’embrassais quand il fut à ma portée.

« C’est parfait ! Tu as à amener bien trop… Merci. »

Je viens donc m'asseoir près de Sara et la laisse m'embrasser avec délice alors que je suis à présent à côté d'elle. Je lui souris un peu et regarde toutes les victuailles apportées. je me rend alors compte que j'ai oublié les couverts...bon tant pis. Faute de mieux, je prend dans ma poche mon kanif et le lui donne après avoir sortit la grande lame.

"Ma tête en l'ai ren puissance. J'oublis toujours quelque chose, je sais pas comment je fais."

Je lui souris un peu avant de tousser légèrement. Faut dire que 'javais passé une nuit torse nu dans un cachot plein de courants d'air...c'était peu têtre pas très bon.

Je fronce les sourcils en voyant son canif mais le prend quand même.

« Tu as un canif ici ? ça doit être interdit non ? Enfin… Tout ce qui peut te protéger je ne suis pas contre mais il ne faudrait que ça se retourne contre toi.. Si quelqu’un te le volait et s’en servait contre toi ? »

J’étais de plus en plus inquiète pour Rivaul. Son séjour aux cachots… ce couteau… les caméras..
Sa toux n’améliora pas mon anxiété. Je lui massais le dos tendrement.

« ça va ? »

Je lui touchais le front pour vérifier s’il n’avait pas de fièvre.

Je hausse doucement les épaules à sa question sur mon canif et lui souris.

"C'est un cadeau de mon père...si tu veux gardes le le temps que je sorte d'ici. Ca m'évitera de me le faire voler ou quelque chose dans le genre."

Je regarde toute la nourriture ramenée. Finalement, je dois dire que j'étais assez fier de moi sur ce coup là. Je me tourne de nouveau vers Sara après cette petite toux et acquiesse doucement.

"Ca va oui...Ne t'inquiètes pas."

Doucement j'intercepte sa main avant qu'elle ne touche mon front. Je commencais à sentir depuis un petit quart d'heure des picotements dans les muscles; ma tête se faisait lourdeet j'avais sans doute mon oeil qui était un peu plus brillant déjà. Oui je sentais que j'avais tous les symptômes d'une bonne fièvre, mais comme il y avait peu de clarté ici, je préférais le cacher à Sara.

J’hésite un instant entre lui rendre ou le garder. Si il le garde il a quelque chose pour vraiment se défendre mais aussi quelque chose qui peut devenir une arme contre lui-même. Si il ne le garde pas il n’a pas d’arme mais peut-être confronté aux armes des autres.. Et c’est un cadeau de son père..
Je plisse les yeux pour essayer de comprendre pourquoi Rivaul m’a pris la main avant que je ne lui touche le front et finalement je lui redonne, de ma main libre, son canif. Mais, ne faisant pas suffisamment attention, je me coupe alors le doigt. Je sursaute et lui arrache presque le canif des mains en mettant en même temps mon doigt blessé dans ma bouche pour arrêter le sang. Je me lève aussi vite et après une légère image floue je vois parfaitement bien. Je suis alors devant Rivaul, un doigt dans la bouche, une main tenant le couteau comme si j’allais l’attaquer, en posture défensive.
Je me rend compte alors de ma réaction et relache mes épaule tendues.

« Euh… Escuse-moi.. Je ne voulais pas que tu touches mon sang… »

Je prend un mouchoir dans la table de nuit et commence à essuyer la lame du couteau puis à l’enrouler autour de mon doigt, restant en attendant à distance de Rivaul par sécurité pour lui.

Je sursaute à mon tour alors qu'elle recule d'un coup quand elle allait me redonner mon canif. Je me redresse d'un coup et mon bras touche légèrement la lame alors qu'elle retirait le couteau au plus vite. Heureusement, elle n'a pas remarqu" qu'elle m'a légèrement touché. Je la regarde, restant debout, un peu inquiet pour elle. Je remarque alors qu'on dirait qu'elle va m'attaquer et fronce un peu les osurcils, mais avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, elle se reprend et s'excuse. je soupir un peu puis lui souris doucement, tentant de me décontracter.

"C'est iren Sara...j'ai été surpris c'est tout...ça va aller pour ton doigt ?"

Je la regarde d'un air inquiet mais à ce moment une quinte de toux plus forte me prend. Quand elle est passé, je me masse un peu la gorge sous la brulure que la toux y faisait naître.

(Oh non ! tu vas pas avoir le sida aussi ? ro quelle tragédie ils vivent tous les deux ! ^^)

Je prend un pansement et ferme le canif pour le poser près de la nourriture. Je fais bien attention à ce que le sang ne coule plus avant de m’approcher de Rivaul, n’ayant pas remarqué que je l’avais coupé…

« Oui c’est rien ça va… Je suis désolée… »

Mais je suis interrompue dans mes excuses par une nouvelle quinte de toux de Rivaul.
Je m’approche et le prend dans mes bras. Puis je prend une de ses main et arrive à toucher son front cette fois.

« Tu as attrapé froid toi aussi… »

Puis je souris légèrement.

« Je reprend mon rôle de docteur ? »

(XD ben au moins tu auras plus peur de l'approcher mdr)

Je lui souris pour la rassurer et la regarde poser le canif à côté de la nouriture. Le temps de terminer ma quinte de toux, Sara est à mes côtés. Je la regarde légèrement étonné mais en bouge pas alors qu'elle me prend dans ses bras. Elle parvient alors àt oucher mon front et je me mord un peu la lèvre. Zut, maintenant elle allait savoir. Pff j'étais vraiment pas doué parfois moi. Je la regarde ensuite et souris un peu.

"Je préférerais que tu manges un peu avant. Sinon le médecin risque de ne pas tenir bien longtemps et ne pourra pas soigner son patient."

Je lui souris et l'embrasse doucement. Je tousse une nouvelle fois, sauf que cette fois-ci, c'est dans le thorax que je sens la douleur. je grimace un peu et m'asseois sur le lit.

(oh non non non ! ça va être bien plus compliqué ! elle va s'en vouloir et ne plus vouloir l'approcher car elle pensera le tuer en l'approchant ! ah ça va être super à écrire !^^)

Je le regarde encore une fois tousser et me tourne vers la nourriture.. C'est vrai que si je m'évanoui alors que je le soigne je ne servirais pas à grand chose.. Je prend le bol de riz et une pomme et je m'asseois à côté de Rivaul qui tousse une nouvelle fois.

"Tu veux manger quelque chose ?"

Je prend deux stylos dans ma poche et les met dans le bol comme deux baguettes chinoises. Puis je lui tend la pomme et le bol pour qu'il choisise.

(t'inquiètes il aura rien XD C'est très faible les risques de contracter le virus comme ça)

Je la regarde et fais doucement non de la tête. Je n'avais rien mangé depuis deux jours mais pourtant, l'envie ne me venait pas. Je lui osuris un peu pour larassurer, je ne voulais pas qu'elle s'inquiète pour moi. Je me colle doucement à elle et passe lentement mon bras au dessus de ses épaules.

"Manges toi, je n'ai aps faim pour le moment...au cas où je pense qu'il restera une ou deux provisions."

Je souris un peu et l'embrasse doucement dans le cou.

(mdr tu changes d'avis ?^^)

Je l’écoute et ne dit rien un peu inquiète qu’il tousse mais pas qu’il n’est pas faim. Après tout il a peut-être déjà mangé avant de venir ici..
Je souris quand Rivaul se place derrière moi et m’entoure de son bras. Son torse toujours nu contre la peau blanche de mes épaules, à peine couvertes par une nuisette à bretelle, me réchauffe. Puis un doux frisson remonte le long de ma colonne vertébrale au contact de ses lèvres sur la peau de mon cou. Je renverse la tête en arrière, avide de sa peau, ses baisers…

« Comment veux tu que je me concentre sur la nourriture si tu continus à me distraire comme ça ? »

Je souris malicieusement en lui murmurant ces mots.

(non j'étais pas très décidé XD...Enfin fais gaffe parce qu'avec moi XD)

Je souris à Sara et continue de l'embrasser doucement jusqu'à rire de ce qu'elle me dit. J'arrête alors mes baisers pour laisser uniquement mon bras au dessus de ses épaules afin qu'elle puisse enfin se nourrir.

"Tu as raison, je suis désolé. C'est pas très sérieux de ma part."

J'arbore un grand sourire en disant cela mais la laisse tranquille à présent, juste mon bras, toujours sur ses épaules pour la tenir au chaud...et moi aussi par ailleurs. Je détourne un peu la tête du temps d'une méchante quinte de toux.

» Le malade imaginaire?