Rencontre avec la psycologue

" Nous avons donc la un sujet qui nous passione Rivaul"

Elle sourit en croisant les mains

" Je pensais tout ce que j'ai dit"

Elle regarde L'étagére

"Si vous voulez m'en emprumpter, je vous l'autorise, la conaissance appartient à tout le monde, Moi même j'aime un peu toutes sortes de lecture, je m'ouvre à tout"

Elle le regarde

"Et puis La Lecture peut aidern j'en est fais moi même l'éxpériance"

Je la regarde et acquiesse doucement. Je regarde les étagères croulant de livre et souris un peu tristement.

"Dommage que la lecture et la connaissance ne font pas revenir les seules personnes qu'on a aimé...et qui nous aimait vraiment en retour."

Je baisse les yeux et me lvèe bient^^ot pour aller regarder par la fenêtre, souhaitant cacher les quelques larmes à mes yeux.

" La mort est bien cruelle, surtout pour ceux qui restent..C'est la mémoire, les souvenirs qui nous tourmentent le plus, mais c'est le cycle de la vie..aprés chaque mort vient une naissance et ainsi de suite"

Elle le regarde attristé elle même

"On ne demande pas à venir au monde, mais on doit se soumettre à accepter les régles du jeu..parfois elle est injuste, même souvent"

Elle reste sur place

"Vous avez encore beaucoup de monde à découvrir, une vie entiére s'offre à vous, vous allez construire votre propre chemin et construire votre famille

Peut être je ne sais pas...j'ai finis par comprendre qu'il n'y a rien après la mort...rien qu'un trou noir impossible à combler."

Je me tourne de nouveau vers la fenêtre et regarde à travers d'un air rêveur...mais au fond de moi, je pensais en ce moment même à mes deux parents. Je me demandais ce qu'ils penseraient de moi si ils me savaient ici à présent...ce qu'ils penseraient de moi, mais aussi des raisons pour lesquelles j'avais été placé ici. Je ne les comprenais toujours pas ces raisons personnellement. Je conitnuais de croire que je n'avais rien à faire ici.

"Vous me manquez..."

" Vous n'avez pas atteris içi par hazard, je crois au destin, et peut être que sans le savoir, quelque chose ou quelqu'un vous attend içi, ou à besoin de vous"

Elle fait un léger sourire

"Personne ne sait ce qui se cache aprés la mort, et vaut mieux peut être en garder le mystére, viviez l'instant présent "

Et même en n'y mettant toute la volonté du monde, Si Rivaul n'y mettait pas du siens, il ne changerais pas d'avis et seul, lui avait le pouvoir de le faire..

"Le destin n'existe pas...il se cache trop derrière un mot qui se veut le plus poêtique possibel. Je n'y crois pas...ni en ça, ni au paradis...ce que je veux...c'est..."

Je ne savais aps si dire ça c'était vraiment une bonne chose, surtout à un psychologue...mais bon, vu que j'avais commencé, autant aller jusqu'au bout. Je soupir un peu et me tourne vers elle une nouvelle fois, la regardant de mon oeil.

"Je veux retrouver mes parents. Et si c'est ce que j'ai décidé, personne même pas vous ne pourrez m'en empêcher."

" C'est le choix d'un homme faible..pas celui de L'homme que j'ai en face de moi"

Elle soupire, replaçant une méche de ses cheveux derriére son oreille

"A quoi ça servirait encore de vous punir? Vous vivez trop dans la passé Rivaul, il vous faut trouver le déclic, pour pouvoir tourner la page.."

Elle le fixe

"Et seul vous pouvait le faire.."

Je la regarde de nouveau et hausse les épaules doucement.

"Pensez ce que vous voulez de moi, ça m'est égal. J'aimais mes parents, j'étais bien avec eux...et avec tout ce qui s'est passé depuis leur mort, je ne peux regretter cette époque...et c'est pour ça que je ne peux vouloir autre chose que les retrouver..."

Bien sûr au fond de moi, le nom de Sara me revenait sans cesse en tête. je ferme un peu les yeux. Elle ne comprendrait certainement pas pourquoi je parlais comme ça...elle avait confiance en moi...mais je n'avais plus confiance en moi personnellement, et ce depuis longtemps.

"Je pense que de mon côté, j'ai fais tout ce que je pouvais faire"

Elle le regarde, tristement, mais avec l'espoir qu'il change quand même d'avis

" Cela prouve une chose..vous n'aimez pas assez cette Femme, pour ne même pas vouloir lutter pour elle"

*Et si la provaocation marche sur lui?*

Je rouvre les yeux brutalement et me lève d'un coup, foncant sans prévenir sur la jeune psychologue. Je la plaque alors violemment au mur et la regarde d'un air mauvais dans les yeux...enfin l'oeil.

"Je vous interdit de dire ça ! Vous ne me connaissez pas suffisamment pour juger des sentiments que j'éprouve pour une autre personne ! J'aime Sara, je 'laime lus que tout au monde...c'est d'aillur pour ça que je suis encore là..."

Ma voix avait perdu de sa force à la fin. Mais c'était plus parce que je venais de me rendre compte que j'avais donné l'identité de la personne que j'aimais...

" Alors restez encore parmis nous, Sara a surement besoin de vous"

* Pas besoin d'être violant*

Elle reste calme quand même, bien qu'il faudrait qu'il se calme, il n'avait pas tout les droits

" La réaction que vous avez eu, vous ne l'auriez pas eu si vous vouliez vraiment mettre fin à vos jours, ce sont des signes"

"qu'est ce que vous en savez des réactions et des signes ? Parce que vous êtes psy ? J'ai plus l'impression que vous faites de la psychothérapie sauvage qu'autre chose."

Et voilà, j'étais dans une de mes colères noires qui faisaient que j'insultais très facilement les gens. Il allait falloir trouvé un truc rapide et radical àla fois pour me calmer...mais personnellement, c'était tout juste si je me rendais comtpe que j'étais comme ça à ce moment là.

" Si c'est ce que vous pensez vous pouvez partir, la porte est grande ouverte"

Ne lui adresse aucun regard, elle était énervé et il ne le mériter pas

*Denise..il faut que je te parle*

Je la regarde et la pousse vers son bureau avec violence. Têtu et difficile à arrêter. je m'approche d'elle et la bloque contre la table de travail, la regardant d'un air mauvais.

"Vous croyez franchement que je vais me défiler ? Mais enf ait vous avez surement peur de moi et c'est pour ça que vous dites n'importe quoi non ?"

Je la bloque de plus en plus contre le bureau, je ne me rendais plus compte de ce que je faisais.

( Merçi c'est trop gentil que ça tombe sur moi Rivaul lol)

Elle se rattrappe avec ses deux mains à son bureau et se fait bloquer par Rivaul, mais elle laisse ses mains en arriére au cas ou

Elle le regarde aussi sévéremment que lui, sans baisser les yeux

"Pourquoi j'aurais peur de vous? Vous cherchez simplement à m'inpressionner"

Elle se sent de plus en plus serrer, contre le bureau

" Qu'est ce que vous cherchez à la fin? Je ne suis pas contre vous!"

Elle jette des coups d'oeil par-ci par-là pour voir n'importe quoi suseptible de l'aider

*Est si il était vraiment fou..*

(XD déoslé ^^)

Elle se resserait de plus en plus contre son bureau au fur et à mesure que moi, je continuais d'avancer sur elle. Je 'navais plus conscience de grand chose, la haine, la rage et tous les sentiments qui se mélangeaient en moi depuis si longtemps refaisaient surface d'un coup. pourquoi maintenant ? Pourquoi cette femme ? Aucune idée, mais c'était comme ça point.

"Vous impressionner ? pourquoi je tenterais de vous impressionner ?"

Je la regarde avec un léger sourire sadique à rpésent...mais as longtemps. D'un coup, je reprend toute conscience et me redresse d'un coup. Je regarde la femme et d'un mouvement brusque, je la pousse sur le côté vers le sol et la regarde, presque horrifié.

"Qu....qu'est ce que 'jai fais....? je..."

Je regarde la femme, complètement perdu.

Summer venait de se blesser en tombant, elle s'était surêment fais mal au poignet, elle n'avait pas vu tout ça venir et voilàa le résultats; Elle se leva, massant sa main avec son autre main et regarde sévéremment Rivaul

" L'entretien est finie, je vous demande de quitter cette piéce"

Elle l'ignore complétement et s'asseoit à son bureau.

Je regarde la psychologue me demandant ce qui s'était passé pendant ce laps de temps où j'avais un peu perdu les pédales. Je n'avais quand même pas tenté de la violer !? Non c'était impossible...jamais je ne pourrais faire une telle chose à qui que ce soit. Je regarde la femme qui me demande de sortir en m'ignorant...pourtant son comportement...sans compter qu'elle avait du se faire mal en tombant...je me recule vers la porte, les yeux grands ouverts fixés sur elle...puis pars en courant et en pleurant. Je me dégoutais moi même.

(gare à mon prochain post lol)

Elle regarde Rivaul s'enfuir en courant, et commence à sortir de son bureau, une bande blanche et de la créme, elle fait la bandage en fesant une légére grimace, puis attrappe le téléphone, elle avait envie de prévenir quelqu'un mais décide de le reposer quand même, changeant d'avis.

*Je crois que je me suis foulé le poignet*

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