Comme Cerise ne bougeait pas, Tioje rapprocha un peut son visage du sien et dit :
" - Tu es la plus belle femme qui m'ai été donné de voir... Et celle qui est parfaite à mes yeux... "
Dans ses yeux, on pouvait lire un "je t'aime". Avec elle, il se sentait léger comme une plume qui succomberait de bonheur, de voler dans la brise fraiche d'un beau matin quand se lève l'empereur du jour, le soleil. Il devait le faire. Tioje prit délicatement les mains de Cerise. Elles étaient douces, agréables à tenir. Il les carressa un petit peu. Le contact de ses mains sur celles de la jeune femme était pour lui comme pour l'oiseau blessé qui revole après s'être guerri tout seul, pendant fort longtemps, en sentant sur lui le souffle d'un vent tant aimé qu'il avait du quitter. Un doux enchantement.
Tioje fixa intensemment Cerise et dit :
" - Quel doux enchantement que d'être avec toi. Tu es... un miracle... si je suis ton ange, tu es ma déesse... Je..."
Tioje n'arriva pas à finir ce qu'il voulait dire : je t'aime. Plutôt que d'essayer vainement de parler, il passa une de ses mains derrière le dos de Cerise pour sentir son magnifique corps frémissant et rapprocha encore son visage de celui de Cerise, et puis enfin, délicatement, posa ses lèvres sur les siennes. Il sentait le corps de Cerise trembler légèrement... Leur deux corps étaient si proches... Leur bouche plongée dans un baiser... Tioje ferma les yeux quand ses lèvres touchèrent celle de Cerise. Pendant qu'il fermait les yeux ( 18 centième de seconde et demi plus un autre centième et demi , c'est à dire 20 centièmes de seconde ) il serra un peu plus la main de Cerise sans lui faire mal et inconsciemment ( si j'vous jure c'est grave, on a testé avec des cops ) se rapprocha d'elle. ( Non aucun viol, seulement un baiser amoureux et passioné. Mettons de côté le fait qu'il soit tout nu et [CENSURE POUR LE JEUNE PUBLIC : en pleine érec****] ).
Puis il entrouvit légèrement les lèvres, sans mettre la langue au cas ou Cerise y fut opposé, pour intensifier le baiser.
(C'est trop beau ce que j'ai mis... c'est à en pleurer)