On m'en a parlé....est-ce vrai !? [un surveillant]

(oui mais je sens rien là moi XD)

trop tard. Je pensais vraiment réussir à fuir, mais non, aube me rattrape et me ramène dans ma cellule malgré tout ce que je peux faire pour tenter de me libérer. Elle m'y enferme cette fois et repars vaquer à ses occupations. Je regarde le gar se faire démonter petit à petit, impuissant face à son calvaire...est-ce qu'elle allait me fairece genre de choses à moi aussi ? Je me le demandais. Je m'asseois tout au fond de la cellule, dans un coin, ramenant mes jambes vers moi pour tenter de me réchauffer un peu et essayant surtout d'oublire les cris e l'autre gar.

(t'es SM toi c'est aps possible mdr)

Elle finit par l'achever,non pas par pitié mais par lassitude,elle va se laver les mains,chantonnant et souriant puis elle nettoit les ustensiles soigneusement,puis elle regarde le corps et sourit,elle appuit sur un bouton et une trappe s'ouvre,elle y jette le corps,elle n'a jamais su ce que cette trappe contenait mais apparemment,on y reste pas longtemps,elle la referme et nettoit tout,une fois fait,elle éteint la lumière et s'en va

(XD pas assez je trouve)

Je regarde la fille faire tout son petit manège et soupir un peu en sentant un frisson me parcourir. Je m'allonge ensuite à même le sol, la seule chose qui me reste à faire, étant enfermé dans cette cellule à présent. Aube partout, le silence et le noir emplissent la pièce. Je ne bouge aps et finis par fermer les yeux au bout d'un long moment, encore envahis par les images que jeviens de voir.

Andy qui se baladait dans le pensionnat sans but réel arriva aux sous-sols dont Adella lui avait tant recommandé de se tenir éloignée. Elle n'aurait pas dû bouger de sa chambre son accouchement étaot très proche. Elle trouva une pièce peu éclairée. Elle ouvrit la porte et dit :

- Il y a quelqu'un ?

La pièce était froide, sombre, avec une atmosphère très étrange comme si elle était habitée par des choses surnaturelles. Andy croisa les bras autour de ses épaules pour se protèger de ce qui règnait dans ce sous-sols.
Une voix faible se fit entendre qui provenait peut-être du fond de la salle. Andy fouilla dans ses poches à la recherche de ses clefs auxquelles elle avait accroché une petite lampe de poche. Elle les trouva, alluma la lupiotte et balaya la salle avec. Le faible raie de lumière ne lui permettait pas de voir très loin. Elle dut entrer un peu plus dans la pièce pour voir de qui provenait cette voix. Elle vit un jeune homme requorvillé contre une grille, torse nu et blessé. Un pansement sur l'oeil. Elle se précipita vers lui et l'observa.

- Je ne vous veux aucun mal. Je suis Andy Sachs. Vous avez mal ? Vous pouvez bouger ?

Andy sentit bien qu'il se méfiait mais comment lui faire comprendre qu'elle ne lui voulait aucun mal parce qu'elle était gentille et enciente. Elle se recula légèrement pour lui parler calmement.

- Je suis une des deux psychologues de l'établissement. Je ne sais pas qui vous a fait cela mais je vous promets que je ne vous veux aucun mal. Vous ne pensez pas que dans mon état je vais aller vous torturer alors que vous pouvez répliquer.

Andy regarda l'ouverture puis le jeune homme. Elle réfléchit vite à la situation. Elle posa une main sur son avant-bras, passa son bras sous les siens et pressa légèrement pour qu'il se laisse faire.

- On en parlera en chemin si vous n'y voyez pas d'inconvénients.

(je comprends pas trop ta manoeuvre, je suis enfermé à clé dans une cellule)[/i]

(oups désolée!)

(bon je répond mais je suis un peu coincé)

Je regarde la jeune femme, toujours au bout de la cellule, recroquevillé dans mon coin. Je ne savais pas trop ce qu'elle était en train de penser, mais je savais ce que moi je pensais et c'était déjà pas mal. En fait, j'aurais donné n'importe quoi pour qu'elle s'en aille, sinon elle allait découvrir vraiment le monstre que j'étais avec toutes ces cicatrices qui parcouraient mon corps.
Je tousse un peu fort. Une nuit ici m'avait fait prendre froid...mais c'était vrai qu'il faisait froid. Un courant d'air glacé traversé ma cellule. Je regarde la femme à ses paroles.

"Vous allez avoir des problèmes si vous me faites sortir d'ici...et...vous n'avez pas la clé n'est-ce pas ?"

Andy regarda la porte de la cellule désespérée. Comment pouvait-elle l'ouvrir sans clef et sans barette? Alors qu'elle pensait à la manière de sortir ce jeune homme, elle eut une sorte d'illumination. Sur son visage, un large sourire s'y dessina. Elle lui dit :

- Il est vrai que je pourrais avoir des ennuis en vous aidant et vu mon état, cela serait dangereux mais je connais une pensionnaire assez maline pour vous sortir d'ici. Elle ferait tout ce que je lui demande. Restez ici... Je vais la chercher.

Andy dut se combattre avant de répondre à ce jeune homme. Elle s'approcha de la porte et des barreaux.

- Qui vous a dit que vous étiez un monstre? C'est ridicule. Les seuls monstres qui existent sont ceux qui vous font tout ça.

Andy passa ses mains entre les barreaux et les tendit au jeune homme.

- Vous ne savez pas ce que j'ai pu voir dans ma vie... Vos cicatrices ne sont rien... Elles font de vous ce que vous êtes.... Aidez moi à vous sortir de là que je puisse vous amener à Sara.

Andy lui donna les barrettes qu'elle avait dans les cheveux.

- Je n'ai rien d'autre malheureusement. Je peux faire autre chose ?

Andy passa ses mains près de la serrure pour l'éclairer avec sa petite lampe qui se trouvait sur ses clés mais assez loin pour qu'il puisse travailler.

- Vous connaissez Sara alors ? Depuis quand ?

Andy mit les barrettes dans sa poche. Il s'éloigna pour tousser. Elle s'approcha de lui.

- Sara est vraiment quelqu'un de bien mais il faut quand même l'a dérangé parce que vous êtes dans un sale état.